L’expert immobilier est une personne versée dans sa connaissance par la pratique, il/elle est muni(e) de sa connaissance dans sa spécialité, celle de l’immobilier.
En plus de son impartialité, il/elle est doté(e) d’un solide bon sens, ses missions d'expertises immobilières sont aussi des questions de fait et le bon sens aura toute sa place dans le résultat final de son rapport.
Il/Elle sera en formation permanente, afin de coller à la réalité du marché et de suivre les évolutions législatives et fiscales, en perpétuelles mouvement. Il/Elle doit sans cesse étudier les nouvelles méthodes d’évaluation dans la spécialité qu’il exerce.
L’expert immobilier doit toujours dire la stricte vérité comme il la ressent, être d’une impartialité et d’une probité à toute épreuve sans jamais céder à aucune pression ou influence.
De par sa connaissance du marché (local et national), l’expert immobilier détermine la valeur vénale de votre bien immobilier.
Se rendre sur place, étudier l’environnement, rechercher, analyser et synthétiser l’ensemble des paramètres économiques, urbanistiques, techniques, comptables, juridiques et fiscaux pour déterminer une valeur vénale ou locative d’un bien immobilier au sein d’un marché spécifique.
Les méthodes d’évaluation employées, par le cabinet CNE, sont celles définies par la Charte de l’expertise en évaluation immobilière, ainsi que par les normes d’expertise immobilière en Europe.
Nos rapports sont remis sous les réserves de principe et d’usage, notamment en ce qui concerne les défauts et vices cachés d’un bâtiment au moment de notre visite.
En l’absence de production des diagnostics se rapportant aux risques technologiques (amiante, plomb, état parasitaires, électriques, gaz et énergétique), les conséquences en résultant sont considérées comme des vices cachés. Ces rapports sont d’une grande importance.
En général nos missions ne comportent pas de vérification de fonctionnement des équipements et services généraux, ni d’étude technique de l’immeuble (Gros-œuvre, fondations, planchers, couvertures, murs, canalisations …) qui ne peuvent être réalisés que par des spécialistes.
Cependant, nous pouvons émettre un avis sur un désordre précis et pouvons aussi faire appel à un sapiteur (Personne qualifiée dans un domaine précis et à laquelle un expert peut avoir recours pour concourir à la mission qu'il a reçue), lorsqu’un désordre jugé important peut avoir une conséquence sur le résultat final.
L’expert doit refuser, tant dans le cadre amiable que judiciaire, toute mission pour laquelle son indépendance pourrait être suspectée, du fait par exemple, de la réalisation de précédentes missions pour un autre mandant ou de conflit d’intérêt de quelque nature qu’il soit.
L’expert doit également refuser une mission dans laquelle son intérêt personnel lui ferait perdre son indépendance.